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Points de vue

Et, pour commencer, mon point de vue sur notre système politique :

Quel nom peut-on donner à un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société, les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs en diminution continuelle ? Ce n'est, bien évidemment et en aucune façon, une "démocratie" telle que les anciens grecs l'avaient conçue !

 Alors comment le dénommer ? « médiocratie » ? « inaptocratie » ? "mafiocratie", ou peut-être tout simplement « françocratie », car il s'agit bien là d'un système qui a été progressivement mis en place en France au cours des dernières décennies par une oligarchie aussi incompétente que crapuleuse, un système auquel une grande partie de la population de ce pays semble pourtant être naturellement et farouchement attachée par un intétrêt bien compréhensible ... 

Je me pose maintenant la question suivante : pendant combien de temps un tel système peut-il se maintenir avant d'imploser ?

 

Un point de vue que je partage entièrement :

celui d'Anne MOYAT sur le "journaliste" Hervé Ghesquière

 

Texte tiré du blog Les « Chroniquetamère » d’Anne MOYAT​ du 26 septembre 2012​ :

Après une longue période de prise d’otage, on observe souvent deux types de comportement chez les victimes:  Il y a celles qui se suicident, incapables de se réadapter au quotidien.​ Et puis il y a celles qui font un bouquin.​...

Ghesquière fait partie de la catégorie numéro 2. A la veille de la sortie de « 547 jours », récit de sa captivité, il s’explique dans une parodie d’interview réalisée par « ELLE ».​ J’ai toujours pensé que le journalisme était une grande chose. Dommage qu’il y ait les journalistes.

Et « ELLE » de leur dérouler le tapis rouge.

Que voulez vous, Grand Reporter, c’est comme pompier ou médecin urgentisteça fait rêver la femelle en milieu urbain. A la seule évocation du gaillard taciturne, barbe de trois jours, veste militaire et appareil photo en bandoulière, tout ce petit monde de la presse féminine se ruine en string. En oubliant de poser les vraies questions. Après tout, on ne va pas se taper dessus entre confrères.

« On a jamais voulu escalader l’Everest en tongs. » répète Ghesquière à l’envi, parodiant au passage l’humoriste Thomas N’Gijol.

« On a voulu prouver que toutes les routes nétaient pas sous contrôle, contrairement à ce qu’affirmait l’armée française »

Ce qui revient à dire : on va faire du hors piste pour démontrer qu’il y a risque d’avalanche. Parce qu’on est des cow-boys de l’info, nous, des cow-boys sévèrement burnés, prêts à tout pour exercer notre noble métier.

Alors quoi ? T’es journaliste, mec ? Ta carte de presse est le prolongement logique de ta quéquette ?

Parfait. Tu es donc censé connaître le sens des mots mieux que la moyenne nationale.

« Tout est sous contrôle » ne signifie pas « Il n’y a aucun danger ». Ce n’est pas parce que l’incendie est circonscrit, que le périmètre est balisé et que les pompiers ont dégainé les lances qu’il faut pour autant se jeter dans les flammes. Quand l’état-major dit «Va pas là », c’est que la zone est risquée. Toi comprendre ou moi devoir traduire à toi ?

« Hervé Ghesquière déteste être considéré comme une victime » susurre « ELLE », en ouverture du papier. Grand bien lui fasse parce qu’une victime, c’est quelqu’un qui n’a pas choisi.

Reste que mon confrère ne déteste pas passer pour un héros. Ce que j’aurai voulu, moi, c’est que « ELLE » demande à ce baroudeur d’opérette combien de militaires sont morts pour aller le chercher, lui et son caméraman.

Puisque la journaliste a cru bon de trapper la question, sachez le donc, mes lapins.

Ils sont 9 jeunes tombés sous les balles en essayant d’exfiltrer ces deux coyotes. Un détail. Un dommage collatéral.

Que les choses soient claires, une bonne fois pour toutes : un journaliste n’est pas supposé être autre chose qu’un journaliste. Ce n’est nullement un héros.

547 jours et un an plus tard, Superman est bien vivant, et il a, en plus, l’outrecuidance de traiter de lâche l’officier de presse en poste à lépoque de son enlèvement.

Donc je pose la question, moi. Je la pose à mon courageux confrère :

Êtes-vous allé serrer les mains des veuves à votre retour en France, toi et ton caméraman ?

Les avez vous regardées bien droit dans les yeux, vous qui parlez de courage et de lâcheté ?

M’est avis que les bénéfices du bouquin n’iront pas aux familles des 9 soldats morts en silence.

En silence pour que Ghesquière continue d’ouvrir sa gueule, quand il devrait, en plus de manger sa carte de presse, observer la discrétion la plus élémentaire.

 

Après l’esclavage, voici le 17 octobre 1961… La coupe de la repentance déborde !

En reconnaissant la responsabilité de l’État et en rendant hommage aux “victimes” de la manifestation interdite du 17 octobre 1961, François Hollande s’est comporté en militant sectaire, non en président de tous les Français. D’autant plus que, pour les historiens de métier, les prétendus “massacres” du 17 octobre 1961 constituent un tel exemple de manipulation qu’ils sont étudiés comme un cas exemplaire de fabrication d’un mythe ; comme Timisoara en Roumanie, comme les “couveuses” au Koweit ou encore comme les “armes de destruction massive” en Irak !

Tout repose en effet sur des chiffres gonflés ou manipulés et sur des cadavres inventés. Dans une inflation du nombre des morts, les amis du FLN algérien et les porteurs de valises communistes ont ainsi joué sur les dates, additionnant aux 3 morts avérés du 17 octobre ceux des jours précédents ainsi que les décès postérieurs. Pour eux, tout Nord Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961 est forcément une victime de la répression policière… même les victimes des accidents de la circulation.

[...] Quel est donc le vrai bilan de cette manifestation ?

– Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant massacre, l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’a enregistré aucune entrée de corps de “NA” (NA = Nord Africain dans la terminologie de l’époque).
– Le 17 octobre 1961, de 19h30 à 23 heures, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ?
– En dehors du périmètre de la manifestation, “seuls” 2 morts furent à déplorer, Abdelkader Déroues tué par balle et retrouvé à Puteaux et Lamara Achenoune tué par balle et étranglé, gisant dans une camionnette, également à Puteaux. Rien ne permet de dire qu’ils furent tués par les forces de l’ordre.

Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne fut donc de 3 morts. Nous sommes donc loin des dizaines de morts et de “noyés” auxquels l’actuel occupant de l’Élysée a rendu hommage !

Certes, nous dit-on, mais les cadavres ont été déposés à la morgue les jours suivants. Faux, car ce n’est pas ce qu’indiquent les archives de l’Institut Médico Légal de Paris puisque, entre le 18 et le 21 octobre, “seuls” 4 cadavres de “NA” furent admis à la Morgue :
– Le 18 octobre, Achour Belkacem tué par un policier invoquant la légitime défense et Abdelkader Benhamar mort dans un accident de la circulation à Colombes.
– Le 20 octobre, Amar Malek tué par balles par un gendarme.
– Le 21 octobre Ramdane Mehani, mort dans des circonstances inconnues.

Nous voilà donc bien loin des 100, 200 ou même 300 morts “victimes de la répression” avancés par certains et pour lesquels M. François Hollande a reconnu la responsabilité de la France ! [...]


Bernard Lugan

Bernard Lugan, est un historien français spécialiste de l'Afrique. Il était maître de conférences hors classe à l'Université de Lyon III1. Il dispense également des conférences à l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) ainsi qu'à l'École de guerre au sein du module Histoire et géostratégie de la francophonie. Docteur en histoire et docteur d'État ès lettres, cet africaniste a enseigné pendant onze ans (1972-1983) à l'Université nationale du Rwanda, pays dans lequel il a mené des fouilles archéologiques.  

 

Un point de vue que nos media se garde bien de faire connaître : celui d'un historien, sur le soi-disant "massacre" d'algériens commis par la police française en 1961 à Paris. 

Mon point de vue sur l'accueil réservé à Florence Cassez et à la dépouille de Yann Desjeux, l'otage assassiné en Algérie.

 

25 Janvier 2013

Indépendamment du bien-fondé de sa « libération », sait-on que, le même jour de l'arrivée médiatico-fanfare de Florence Cassez,  le corps de Yann Desjeux, 52 ans, ex-Adjudant-Chef au R.P.I.MA , ancien des Forces spéciales, otage français assassiné en Algérie lors de  l’attaque du site gazier d’In Amenas, atterrissait  à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle...

L'avion s'est posé, et la dépouille a été accueillie par... la famille du défunt ! Une petite cérémonie intime a été animée par... l'aumônier catholique de l'aéroport ! La Nation était représentée par... la ministre déléguée des Français de l'étranger, Hélène Conway-Mouret... (inconnue au bataillon !)

Deux avions le même jour, sur le même aéroport... Il fallait donc  choisir ! Et nos politiciens et leurs chiens de garde des média ont choisi :

D’un coté, Fabius et tous les médias pour un "faux otage" en indélicatesse avec la justice mexicaine, et de l’autre, un "faux-ministre" pour un ancien des Forces spéciales lâchement trucidé en Algérie après avoir réussi à servir une dernière fois notre pays ... Deux poids et deux mesures : d’un coté la dépouille d’un honnête homme assassiné en faisant son ultime devoir en transmettant des informations précises et essentielle sur la prise d’otage et de l’autre, la pimpante et souriante maîtresse d’un chef de gang mexicain,  assassin et kidnappeur en série. N’oublions pas quand même que Florence Cassez, à preuve du contraire et malgré ses dires, n'a en aucun cas été innocentée... Elle a été ("justement") libérée suite à des fautes grossières de procédure ! Et c’est tout !...  N’oublions pas qu’elle a vécu plusieurs mois avec ce truand et son gang dans une maison dans laquelle la police mexicaine a découvert une cellule utilisée pour détenir... des otages. Et surtout qu’elle a été mise en cause par deux des otages libérés, ainsi que par le bras droit du chef de gang !

Dans le doute, et en fonction des circonstances, cela méritait-il un tel battage médiatique ?, un Fabius sur le tarmac ?, + un autre ministre ?, + une Trierweiller ?, et un salon de réception ?, et une escorte officielle,  une nuée de motards encadrant le véhicule "officiel" de Florence Cassez?, puis une exclusivité sur TF1 ?, et bientôt une réception à l'Elysées ?..

Et surtout, Monsieur Fabius, cela méritait-il un tel dédain pour Yann ? (Le même jour, le même salon, et PAS UN GESTE, PAS UN MOT !)

Retenons encore que le corps de Yann était escorté par les seuls proches du défunt, jusqu'à un corbillard positionné sur les pistes... Le corbillard s'est éloigné... et peu après Florence Cassez a été honorée... dans le même pavillon de réception !

Monsieur Fabius, et la horde de "journalistes" qui vous accompagnait, vous êtes pitoyables...  

Voilà, entre autres, l'une des raisons qui font que J’ai honte de vivre dans un tel pays…

   ​Un point de vue que je partage : celui de l’essayiste et écrivain Benoît Rayski sur les gens qui se disent « journalistes ». Je rajouterai seulement ceci : s’il y a un corps de métier auquel j’aurais eu honte d’appartenir aujourd’hui, c’est bien celui de « journaliste »…

 

                     Les journaux nous apprennent qu'un écrivain du nom de Lars Hedegaard a fait l’objet d’une tentative d’assassinat. Il est connu pour ses prises de position farouchement (excessivement ?) hostiles à l’islam. Ce qui lui a valu des menaces de mort provenant d’organisations islamiques ou islamistes (je ne suis pas assez versé dans ce délicat domaine pour faire la différence). 

 

 

                             C’est une histoire parmi tant d’autres. L’intérêt, c’est l’expression utilisée par la presse : « Le controversé Lars Hedegaard ». En français normal, « controversé » veut dire « ce qui peut se discuter, être débattu, être contesté ». Ici, tel que les journaux l’utilisent, et dans le cas précis de l’écrivain danois, cela signifie « douteux ». Au pire, cela excuse par avance les assassins. Au mieux, ça vaut une oraison funèbre prononcée le dos tourné au cercueil de la victime.

 

 

                         « Controversé » fait partie de ces mots qui envahissent les médias, devenus une déchetterie où se déversent toutes les ordures langagières. Ces mots-là tuent la vérité. Assassinent le réel. Mais le réel finit toujours par se venger. « Controversé » est en bonne et nombreuse compagnie. 

 

 

                       Ainsi le mot « citoyen ». On le croyait tombé en désuétude depuis la Révolution française. Que nenni ! Il est de retour. Omniprésent sur les ondes et à la télé. Dans sa publicité, la Banque postale proclame fièrement qu’elle est une « banque citoyenne ». Et ça veut dire quoi ? Rien. La Banque postale est une banque, ce qui l’éloigne quand même un peu des Petites Sœurs des pauvres. Publicité mensongère, donc.

 

 

 

                  Mais « citoyenne », c’est tellement chic. Savez-vous qu’il y a des « entreprises citoyennes » ? On supposera donc qu’elles ne cherchent pas, contrairement aux autres, les vilaines, à faire des bénéfices. Et connaissez-vous le sens de l’expression une « démarche citoyenne » ? Ramasser les crottes de votre chien, selon les élus écologistes de la Ville de Paris.

 

 

 

                   Continuons un peu. Qu’est-ce qu’un « jeune des quartiers » ? Tout le monde le sait, tout le monde comprend. Et tout le monde s’étonne ou s’indigne de cette tartufferie. Mais le journaliste qui a écrit ou, le plus souvent, recopié ces mots s’est protégé. Il a mis un préservatif sur le clavier de son ordinateur. 

 

                     Et que dire des « collèges ambition-réussite », destinés à ceux qui, hélas, n’ont pas d’ambition et ne connaîtront pas la réussite ? Mais il y a mieux : le « collège-lycée élitaire ». Vous pensez, pauvres bourges, qu’il est question de Stanislas, de Louis-le-Grand, d’Henri-IV ou de Lakanal ? Pas du tout. Il s’agit d’un établissement « destiné aux décrocheurs scolaires » !

 

 

 

                     Certes, il n’y a pas mort d’homme. Juste une paresseuse et imbécile propension à nier ce qui est. Mais il y a mort d’autre chose. Quand les mots mentent, ils tuent le peu de confiance qu’on a encore dans les médias et dans ceux – gouvernants, pédagogues, sociologues du ruisseau – qui les inspirent. Tous des menteurs ? Le « tous des voleurs, tous des pourris » n’est pas loin. Et il n’y a rien de plus destructeur pour une démocratie. 

                            Jean Daniel, du Nouvel Observateur, a écrit un jour que le journalisme était un « foutu métier ». Il a dû sans doute se retenir pour ne pas dire un « métier foutu ». Autre référence. Un professeur de journalisme, un vrai, un grand, Jacques Kayser, avait formulé ainsi ce qui était selon lui le rôle du journaliste : « Tenter de mettre en clair le discours confus et contradictoire du lecteur » 

 

               Aujourd’hui, ce sont les lecteurs, qu’on a bien tort de prendre pour des idiots, qui voient clair dans le discours confus et contradictoire des journalistes. 

 

6 février 2013 

Benoit Rayski

 

          Un point de vue que je partage entièrement :

celui de Marion Sigaut sur l'école d'aujourd'hui,"l'école des barbares"...

 

 

De l’école, j’ai eu le meilleur… J’ai su lire, écrire et compter dès le cours préparatoire.

 

À l’école primaire j’ai appris l’orthographe et la grammaire, l’Histoire de France et sa géographie, l’arithmétique et la géométrie, les sciences naturelles (on disait « leçons de choses »), la couture, la musique et la gymnastique.

 

Au Lycée j’ai appris le latin, l’anglais, l’allemand, la littérature, les maths, la biologie, la physique, la chimie. J’ai appris à maîtriser ma langue, à disserter en trois parties, à raisonner juste. À coudre un bouton avec une queue, faire un ourlet invisible et une reprise d’accroc. J’ai appris aussi la discipline, le respect des autres, les horaires, la hiérarchie, la politesse. Il y a ce qu’on fait, et ce qu’on ne fait pas. Nos blouses gommaient nos différences sociales.

 

Notre école était sanctuarisée. Si un prof était un peu tripoteur, un simple signalement nous mettait à l’abri. Garçons et filles apprenaient à se connaître en se respectant, la violence était absente. On rêvait à l’amour, ceux qui le faisaient le faisaient discrètement. Ça ne regardait personne.  

 

Les problèmes que j’ai eus dans ma jeunesse ne venaient pas de l’école, ils ne vinrent pas de mon Lycée.

 

Aujourd’hui les élèves ne savent plus écrire et ne savent même pas à quoi peut servir de savoir compter, certains accèdent au bac sans maîtriser la lecture. Leur programme d’Histoire les fait passer de la Renaissance à la Révolution, les cours de Sciences étudient le « genre ». Les filles doivent avoir couché avec une fille et pas seulement avec un garçon. Ben quoi, c’est vrai ça, pourquoi pas, bande d’homophobes ! Certaines demandent si, quand on couche, « il faut » faire comme ci, ou bien comme ça. Par ailleurs, on va s’assurer que les petits garçons auront très vite une notion précise de ce qu’est la sodomie, comptons sur la maîtrise du sujet qu’auront les militants de la cause homosexuelle qui viendront leur apprendre à jouir sans entrave dès les cours préparatoires.

 

Comment en sommes-nous arrivés là ?

 

Je croyais qu’on avait touché le fond, jusqu’à ce que j’entende, pétrifiée, le témoignage de Nora Fraisse, la maman d’une petite Marion, qui s’est pendue à l’âge de 13 ans, parce qu’elle a préféré mourir que de retourner en classe. Non seulement l’école ne veut plus rien enseigner aux gosses à part leur droit de baiser avec tout ce qui bouge sans s’attacher à personne, mais elle n’est même plus à même d’assurer leur sécurité.Des pervers en herbe peuvent, en toute impunité et sous le regard indifférent d’un encadrement totalement amoralisé, persécuter à mort une gosse de treize ans.

 

C’est l’école de la barbarie et des barbares...

Sortez vos gosses de l’Éducation nationale ! Vite !

 

Marion Sigaut ( née en 1950, est écrivain, essayiste et historienne spécialiste du XVIIIe siècle )

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